
Journal d’un film #4 Retour à Grand Anse
Je suis retournée à Grand Anse, dans le temps suspendu de l’inter campagne et la première chose qui m’a frappée c’est que son chant avait changé.
Je suis retournée à Grand Anse, dans le temps suspendu de l’inter campagne et la première chose qui m’a frappée c’est que son chant avait changé.
Dans LE PARADIS, Alain Cavalier explore avec minutie son panthéon intime et colle avec douceur les petits morceaux d’absolu que lui procure le spectacle du monde.
Troublante expérience de spectateur que celle que nous propose « Lame de fond », de celles qui nous font partager le cinéma comme un besoin vital, comme un moyen d’éclairer nos élans les plus obscurs, d’en projeter le reflet dans le regard des autres pour tenter de les saisir.